- Citation :
- J'avais aussi pensé à mettre la sonde à la place du contact d'alerte mais je voulais avoir les deux.
Dans ce cas
- Citation :
- Le support de sonde inséré dans la durite fait que celle-ci est bien au contact du liquide refroidissement.
Oui ok, même s tu as pris sur une durite d'échappement du liquide après cylindre.
- Citation :
- J'ai pu mal me souvenir mais il me semblait avoir lu que le circuit de retour du radiateur passait d'abord dans le bas du cylindre avant, le traverser pour aller alimenter le cylindre arrière, d’où mon choix de mesurer la sortie au dessus de ce cylindre.
Oui tu as raison, le cylindre arrière est alimenté par le cylindre avant,
mais ça n'empêche que le cylindre arrière reçoit davantage d'air ambiant que le cylindre avant.
La différence de longueur de ressorts des boisseaux sur cette moto, favorise le cylindre avant.
C'est non seulement pour donner un caractère plus twin par effet catapulte,
mais aussi pour améliorer le refroidissement du cylindre avant par apport supplémentaire d'essence.
(entre autres raisons)
Selon nos modèles de V2, on peut aussi trouver des gicleurs plus gros sur le cylindre défavorisé.
Sur les Deauville (mais aussi les NTV), le cylindre avant est prisonnier du cadre, du gros radiateur,
du réservoir imposant et de ses plastiques...
alors que le cylindre arrière est plus dégagé et reçoit l'air des ouïes latérales du carénage.
Sur son ancêtre le VT500E, c'est l'inverse, on favorise le cylindre arrière.
Le cylindre arrière reçoit davantage d'essence.
Sur celle-ci, le radiateur est étroit et ne cache pas le cylindre avant,
alors que le cylindre arrière est davantage inséré dans le cadre et caché en partie par la carrosserie.
(et les jambes)
D'ailleurs sur ce VT500, le circuit de refroidissement du cylindre arrière reçoit
sa propre durite d'alimentation en direct.
- Citation :
- A la longue c'est surtout la position habituelle de l'aiguille qui me servira de référence.
Oui bien entendu, tu prendras l'habitude de son excursion.